Archie Lowe
DECADENCE • DANDY is über-cool •
  Messages : 853
Date de naissance : 10/03/1989
Date d'inscription : 09/06/2009
Age : 35
Copyright : (c) woody pepper; (c) <1989>
Facebook Is Cool
Age: 24 ans
Compte en banque: $$$$
Liens:
![Archie-Cool [Administrateur] Empty](https://2img.net/i/empty.gif) | | Sujet: Archie-Cool [Administrateur] Ven 19 Juin - 1:46 | |
| c o o l i d e n t i t y ; Nom▬ Lowe
Prénom(s)▬ Archibald, mais je vous en prie, appelez-moi Archie.
Age, date et lieu de naissance et nationalité▬ 24 ans, né le 2 avril 1985 à Bay Pleasant. Je suis donc Américain.
Emploi▬ Je n'ai pas besoin de travailler... pour l'instant.
Avatar▬ Chace Crawford
Groupe souhaité▬ COOL/DECADENCE/MONEY/UNCOOL
Fortune▬ $/$$/$$$/$$$$ a l i f e o f c o o l ; Débuts de RP:
Un soir de juillet, 20h43; Le sonnerie du téléphone retentit dans le salon faisant sursauter toute la famille. Tous savaient ce que cela signifiait; il ne reviendrait jamais. Et cela me laissait parfaitement indifférent. J'appuyais sur le bouton "off" de la télécommande et mon poste de télévision devint entièrement noir. Je me redressai dans mon lit et regardait ma montre. 8 heures. Du soir. J'avais passé la journée au lit. encore une. Ce fut le moment que mon téléphone choisit pour sonner, me tirant de ma torpeur. Je m'extirpait lentement de mes draps et me saisit du combiné avec lenteur.
« Allô? »
« Archie? C'est Paul. On sort ce soir. Rendez-vous dans 10 minutes en bas de chez toi vieux rat. »
Ils furent bel et bien au bas de mon immeuble 10 minutes plus tard, alors que j'étais encore sous la douche. Et j'avais eu la malheur de donner un double des clefs à mon meilleur ami -Paul donc- qui déboula dans mon appartement hurlant, suivi de notre bande d'amis. Je sursautai dans ma douche et priai pour qu'ils n'aient pas l'idée de me surprendre en tenue d'Adam dans ma salle de bains. Tant pis pour cette fois songeai-je alors que je les entendais s'approcher de la pièce, et ouvrir la porte. Je me fichais bien qu'ils me surprennent nu, puisque je n'avais jamais été pudique (en soirée notamment),
Le 25 décembre, 13h59; La dinde avait cramé dans le four; on sentait l'odeur de roussi dans toute la maison.
Situations:
Situation 1; Racontez la première rencontre de votre personnage avec quelqu'un qui l'a marqué.
C'était un jour du mois de mars, en 2009. Il faisait un temps radieux à l'extérieur, le printemps était là bien avance et la douceur s'était installés sur Bay Pleasant durablement. Cela me changeait de Berlin où la météo avait été désastreuse tout l'hiver. J'étais un jeune homme arrogant, conscient de ma beauté, de mon pouvoir de séduction, de la liberté et des privilèges que m'accordait l'argent de mes parents. Tout le pays était encore sous le coup de la surprise –et de la joie causées par l'élection de Barack Obama tandis que je ne m'en rendais quant à moi pas vraiment compte; il ne s'agissait que d'un énième insignifiant détail de la vie politique à laquelle je m'intéressais de très loin. Bay Pleasant ne semblait presque pas affectée par ce changement. A vrai dire, elle ne me semblait jamais affectée par quoi que ce soit, tant je la trouvais similaire à la station balnéaire que j'avais quittée douze ans auparavant. J'étais cet après-midi là confortablement étendu dans l'herbe verdoyante de Montgomery Metropolitan Park, au milieu des enfants qui chahutaient et des couples amoureux; on sentait que le printemps réapparaissait. J'avais posé à côté de moi mon sac ainsi que mes chaussures et mes chaussettes. Le soleil répandait sur moi ses rayons qui bronzeraient ma peau alors que j'avais fermé les yeux afin de m'assoupir quelques instants lorsque soudain, je sentis une ombre sur moi: la chaleur des rayons du soleil ne parvenait plus jusqu'à ma peau. Je ne prêtai pas attention à cela jusqu'à ce qu'une voix ne s'adresse à moi.
« Hem... Excusez-moi. »
La voix était chaude, profonde, affirmée, masculine. Je n'ouvris pas les yeux et me contentai simplement de lui faire signe de continuer. Mon interlocuteur poursuivit donc.
« Je me demandais si vous accepteriez que je vous prenne pour modèle. Vous correspondez exactement à ce que je recherche. »
Je fus flatté, pas seulement par la proposition, mais aussi par cette voix chaude. Elle avait en elle quelque chose d'hypnotique, de charmeur. Elle caressait mes tympans et les ondes qu'elle créait s'introduisaient dans mon cerveau. J'ouvris les yeux doucement les yeux et posai ma main en visière afin de les protéger du soleil. Je ne distinguai pas tout de suite la visage de mon interlocuteur, mais il m'apparut comme une ombre, interposée entre le soleil et mon corps. Je me redressai légèrement en me tenant sur les coudes puis répondit d'une voix froide et austère, comme si cela m'était bien égal:
« D'accord. Quand? Et où? »
Je ne pris pas la peine de me renseigner sur le genre de modèle que je devrais être. J'étais tout simplement flatté par cette offre, et à ce moment-là de ma vie, j'étais ultra-sensible à la flatterie. Il me donna rendez-vous le lendemain après-midi dans son studio qui, je m'en aperçus lorsque j'y mis les pieds pour la première fois, était également son appartement. Je fis une moue dubitative en voyant ce qu'il avait prévu comme décor.
« Mais c'est authentique! » se défendit-il.
Je refusais de prendre cela comme une excuse acceptable et je parvins à le convaincre d'aller chez moi; il m'objecta qu'il ne connaissait pas les lieux, qu'il ne savait pas si cela serait lumineux... mais je le forçai et il finit par entendre raison.
L'immense appartement était quasiment vide. Je venais juste d'y emménager; j'avais passé les 11 dernières années de ma vie en Europe. Je prétendais avoir passé mon temps à voyager à travers le vieux continent mais j'avais passé le plus clair de mon temps en Angleterre et en Allemagne, avec quelques séjours brefs en France, en Russie, en Belgique ou encore en Suède. Mon temps y avait été partagé entre fêtes, lectures et intenses séances de... computering. J'étais devenu un accro maladif à mon ordinateur et j'y avais passé le plus clair de mes journées, au point que j'avais fini par détester cela vers la fin de mon séjour. Je n'ai pas autant profité de mon séjour en Europe autant que j'aurais dû, je le savais, mais je n'étais pas du genre à avoir des regrets... Nous étions dans le living-room, l'immense living-room de mon duplex de Sterling Housing. Il m'était revenu à la mort de mes parents, ainsi qu'à ma sœur Alexis mais elle avait accepté de me le laisser puisqu'elle possédait déjà son propre appartement. Les quelques meubles qui se trouvaient dans le living-room étaient recouverts de draps destinés à les protéger de la poussière qui avait commencé à envahir l'appartement. Le jeune photographe regardait autour de lui comme s'il essayait de se nourrir de tout ce qui l'entourait et je sus que déjà des idées lui venaient, qu'il voyait des tableaux se créer sous ses yeux sans qu'il ait à la provoquer. Il se tourna vers moi et me sourit.
Il avait toujours beaucoup d'idées. Le tout premier jour, il me fit poser dans des vêtements somptueux, créant un contraste avec l'obscurité et la morosité qui régnaient dans la pièce. Il avait passé plusieurs minutes à tout ré agencer, m'assurant que tout devait être parfait et que le résultat sur la photographie serait idéal. Nous allâmes également faire une séance sur la plage, un après-midi de grisaille. Il se mit même à pleuvoir, mais en dépit de ses excuses, j'étais persuadé qu'il l'avait fait exprès car il n'était pas homme à laisser les imprévus lui tomber dessus. Il me fit m'installer comme si le temps était au beau fixe, en maillot de bain, allongé sur une serviette, des lunettes de soleil sur le nez... Je trouvais cette séance étrange car pour la première je me sentais dévoré par son appareil photo, comme s'il aspirait toute mon énergie; à la fin des prises, je me sentis affaibli, hésitant. Il me raccompagna jusque chez moi, et je lui proposais un café. Nous montâmes nous mettre au chaud et à l'abri et j'étais en train de préparer les boissons lorsque j'entendis le cliquetis de son appareil dans mon dos. Il prenait des clichés de moi à mon insu... Je ne réagis pas, le laissant continuer autant qu'il le voulait. Après tout, cela était flatteur. Il me montra le résultat quelques jours plus tard alors que nous étions chez lui et que nous nous apprêtions à démarrer une nouvelle séance. Les clichés étaient très précis; il avait pris des plans rapprochés de mon visage, tellement rapprochés que je pouvais compter les pores sur ma peau et distinguer plusieurs colorations de mes cils. J'étais impressionné par cette fascination pour mon visage qui ressortait de ces photographies, bien que je doute que je me sois rendu compte précisément de quoi il s'agissait à ce moment-là. Nous commençâmes la séance; j'avais enfilé une robe de chambre hors de prix dans une sorte de remake de la première séance que nous ayons jamais faite ensemble, afin de me poser en casseur d'ambiance dans l'appartement bordélique et mal meublé du photographe. J'étais étendu sur le petit fauteuil du salon, une canette de bière à la main. Il aimait les contrastes... Et il aimait m'avoir sur ses clichés. En cet instant cette révélation m'apparut aussi clairement que s'il me l'avait dit. J'eus alors le désir de lui rendre son amour pour moi de quelque manière que ce soit; or je n'en connaissais qu'une seule. Je défis lentement le nœud de ma robe de chambre et l'enlevait tout aussi doucement, laissant mon corps être pris pour cible par les flashes. Qui s'interrompirent aussitôt. Il me fixait des yeux, hésitait. Un signe de tête de ma part l'autorisa à continuer mais il n'en fit rien, se leva et vint en ma direction. Il posa une main sur mon coup et ses lèvres sur les miennes.
Je me souvins de son nom! Lancelot Radcliffe.
Situation 3; Votre personnage est à une soirée (peu importe le genre de soirée); racontez.
Quelle heure était-il? Je regardai autour de moi avec la frénésie du désespoir sans parvenir à voir la moindre horloge qui m'aurait renseigné. Je refermai les yeux et la question qui m'avait obsédé pendant ce qui m'avait paru être des heures disparut en même temps que la pièce; je me laissais porter par la musique, par les autres. Les autres, quels autres? Je n'étais même pas conscient de ces gens qui m'entouraient et avec qui je faisais la fête. J'avais tellement bu que je me sentais seul au milieu d'un océan dont les vagues me portaient à droite, puis à gauche. Quelques photographies ont été prises ce soir-là et jamais je ne m'étais vu aussi ivre. Pourtant j'ai l'habitude boire jusqu'à l'ivresse mais ce soir-là, j'avais vraiment été trop loin. J'étais incapable de me souvenir de ce que j'avais fait quelques minutes auparavant tant l'alcool embrumait mon cerveau et tous mes sens. Je sentis quelqu'un m'embrasser, des mains descendre le long de mon torse, puis je quittai la pièce, accompagné. J'y revins quelques minutes plus tard, un peu moins ivre, en sous-vêtements. On me resservit un verre, que j'acceptai. La chanson me semblait ne jamais changer et je demandais à quelqu'un qui se trouvait juste à côté de moi pourquoi c'était la même depuis toute à l'heure. L'inconnu ne me répondit pas et me fit un signe de tête. J'avalais le contenu de mon verre en une gorgée, puis retournai dans la pièce d'où je sortais tout juste, à nouveau accompagné. J'avais à peine 17 ans.
Je revins danser. Je revenais toujours danser. J'avalais d'autres gorgées d'alcool, puis je suivais à nouveau un parfait inconnu dans une pièce plus calme. Il m'arrivait de faire ce même manège quatre fois dans la même soirée... L'alcool ne me montait pas vite à la tête et je devais souvent boire beaucoup...
c o o l & l i e s ; Lors de mon long séjour en Europe, j'ai énormément voyagé, passant d'un pays à l'autre en compagnie de mes amis... Voilà ce que vous pourrez m'entendre dire. La réalité c'est que j'ai très peu voyagé, restant principalement en Allemagne et en Grande-Bretagne. J'ai bien entendu fait quelques voyages, mais peu, préférant passer du temps sur mon ordinateur le jour et aux fêtes le soir.
Quelques temps à peine après mon retour à Bay Pleasant, je rendis visite avec ma mère qui avait quitté notre appartement dans West Hercules pour aller vivre en banlieue, mais je fus surpris ne pas entendre de bruit. Je cherchais quelques temps dans la maison avant de voir ma sœur, Alexis, prostrée devant la baignoire. Je vis des traces de sang et en m'approchant, je vis ma mère, étendue dans la baignoire, les poignets tailladés. Je vacillais. Me remettant du choc, je me rendis compte qu'Alexis épongeait les poignets de notre mère, comme pour les nettoyer du sang. Je lui demandais combien de temps elle avait passé à faire ça mais elle fut incapable de me répondre. Je parvins à la détacher de la scène et je l'envoyais s'allonger, puis j'appelais les pompiers. Nous prétendons que c'est moi qui ai trouvé le corps de notre mère afin que les gens ne posent pas de questions à Alexis. | |
|
Archie Lowe
DECADENCE • DANDY is über-cool •
Messages : 853
Date de naissance : 10/03/1989
Date d'inscription : 09/06/2009
Age : 35
Copyright : (c) woody pepper; (c) <1989>
Facebook Is Cool
Age: 24 ans
Compte en banque: $$$$
Liens:
| | Sujet: Re: Archie-Cool [Administrateur] Sam 4 Juil - 3:01 | |
| c o o l q u i z ; Que pense votre personnage:De COOL le mensuel▬ Je dévore. Je suis devenu papierovore depuis que j'ai commencé à le lire, c'est-à-dire depuis janvier dernier, et mon retour à Bay Pleasant.
De Bay Pleasant▬ Oh c'est un peu perdu mais j'aime bien cette ville malgré tout. Mettez-moi en bord de mer et je suis un coq en pâte.
Du site web de COOL▬ J'ai hâte de pouvoir le lire! Si c'est aussi hype que le magazine, je vais m'amuser...
De lui-même▬ Je ne voudrais pas être quelqu'un d'autre...
De l'anthropologie▬ Ça m'ennuie tellement... D'ailleurs, vous connaissez des gens qui s'y intéressent pour de vrai?
De la coolitude▬ La coolitude, c'est moi.
De Facebook▬ C'est branché, alors j'y suis. C'est mon royaume. J'y passe clairement trop de temps... mais j'aime ça.
Des gigolos armoricains▬ Ils devraient être persécutés et leur activité rendue illégale. Que fait la police???!?
De la vie sur Mars▬ Très belle chanson de David Bowie.
Des années 60▬ Yeah yeah!
Des mots en "-ness" (Coldness, blindness, Inès)▬ Boreness... which doesn't exist.
Du retour du slim▬ C'est le comeback le plus réussi de toute l'histoire des has-been! Prends-en de la graine Cher!
De Barack et Michelle Obama▬ Oh vous savez moi, la télé réalité...
Du mariage homosexuel▬ Tant qu'on a le droit de ne pas se marier, pourquoi pas?
De l'amitié homme/femme▬ J'y crois; c'est l'amitié homme/homme qui me laisse incrédule.
De la mort de Marylin Monroe▬ Un petit pas pour l'homme et un grand pour la femme.
Des Dieux du Stade▬ LOL. Je veux en être.
Des smileys pornos▬ Porno-LOL.
Des armoires à glace (au propre ou au figuré)▬ Je les brise.
De ce quiz▬ Il me les brise.
De Brangelina?▬ Un jour Brad, tu rendras compte que Jen est la femme de ta vie. c o o l , t h e e n d ; Pseudo▬ Ryan
Âge▬ 20 belles années (ou pas)
Des multi-comptes▬ Oui, mais pas sur ce forum (Gni)
Comment avez-vous connu le forum▬ Par moi-même.
Ce qui vous y plait le plus▬ Moi-même. Et Matsou (L)
Un dernier mot▬ Gymnasium ("lycée" en Suédois). | |
|
Accueil 